Club Olympique Cachan - Section Tennis De Table

herve souhaiterait aussi le faire.
est ce encore possible ?

Merci Rija. Si tu peux passer vers 13h00 pour m'aider à installer les baches, je suis preneur.
Stéphane STP, tu pourrais rapporter quelques stylos si tu as?
Et 10h30, ça t'irait pour les courses?
A demain à tous.

passe me chercher ( je voulais écrire :" me prendre" mais ça va être mal interpreté.)

Ok Steph. A demain.

Les résultats du désormais célèbre tournoi de tennis du table du C.O.C. n'ayant toujours pas été validés par la F.F.T.T., le journal l'équipe, représenté par son journaliste mondialement envié Bundes L., a décidé de mené l'enquête. A l'instar de l'affaire qui secoue le monde du hand-ball français, la fédération a demandé à l' ARJEL (l'autorité de régulation des jeux en ligne) de faire tout l'éclairage sur des paris suspects, enregistré lors du tournoi, par certains joueurs et entraineurs. Ce qui suit va vous faire froid dans le dos. Des montants astronomiques sont en jeux (toute proportion gardé par rapport à d'autres sports), des paris pouvant aller jusqu'à 7,50 euros, des gains avoisinants les 36,75 euros. Sommes non négligeables dans un sport qui peine à trouver des sponsors, il y a quand même de quoi se payer plusieurs kebabs. Bundes L à pu rencontrer un des intervenants qui repondra sous couvert d'anonymat (tous les noms cités ont été remplacés en attendant les résultats de l'enquête) :

Bundes L : Bonjour, Eric B., vous avez décidé de rompre le silence, pourquoi ?
Eric B. : Parce que j'ai l'impression d'être le dindon de la farce.
Bundes L : Expliquez un peu plus...
Eric B. : Bon, faut savoir que l'organisation du tournoi favorise ce genre de fraude (aux paris ndlr), le troisième d'une poule de 4 affrontant le premier d'une poule de 3, vous pouvez lacher un match sans que cela soit visible.
Bundes L : Et donc...
Eric B. : vous pouvez parier sur votre propre défaite sans éveiller les soupçons !
Bundes L : Y'a-t-il eu des complicités ?
Eric B. : Bien sûr, entre chaque set, mon bookmaker (qui est aussi mon entraineur, Naïvo R.) venait me voir et me donnait la marche à suivre.
Bundes L : Mais vos défaites face à Etienne D. et Cédric L. sont prévisibles tout de même.
Eric B. : Oui, et c'est là le vice, j'ai 4 balles de matches face à Etienne D., ma côte monte, les paris s'accumulent, je perds volontairement et je prends ma part !
Bundes L : Pareil pour le second match ?
Eric B. : Idem, perdre en trois manches avec handicap permet de n'y voir que du feu.
Bundes L : Et votre dernier match ?
Eric B. : Contre Pierre-Alexis P. je ne peux pas perdre, déjà, je dois aller en huitième pour engranger plus de gains, mais il y va de mon honneur ! Si je perds ce match, je perds toute crédibilité dans le monde du ping.
Bundes L : A quel moment craquez vous ?
Eric B. : Lors du juitième face à Etienne C.
Bundes L : Psychologiquement ?
Eric B. : Oui, et pourtant tout ce passe comme prévu, je perds le premier set puis remporte le second. Ma côte cependant baisse, alors je fais trainer le troisième set, on arrive à 14-14, et mon coach me fait signe de lâcher de manière spectaculaire !
Bundes L : Mais pourquoi ?
Eric B. : Si j'abandonne le match, la côte des paris est à ce moment là à 25 contre 1 ! Il faut que je trouve une excuse. Donc je sers tendu, mon adversaire m'annonce 2 balles et là, je sors le grand jeu...je m'énerve, quitte la table, me rhabille et pars sans un regard pour mon adversaire.
Bundes L : Tout marche comme sur des roulettes alors, pourquoi tout balancer ?
Eric B. : Parce que je n'ai pas eu ma part des gains, le bookmaker s'est barré avec les sommes pariés, rendez-vous compte, 77,50 euros ! Avec ma part, je me tapais un kebab de ouf ! Mais nada, dans l'cul lulu. Ah on m'y reprendra pas de sitôt.
Bundes L : Ce mardi, il n'a plus entrainement mais un mini-tournoi, allez vous y participer ?
Eric B. : J'espère me refaire une santé, tout en évitant La Santé !

En attente d'autres témoignages, la F.F.T.T. et l'ARJEL ont d'un commun accord arrêter toute enquête, les frais se montrant trop élevé par rapport aux sommes fraudés ! Le sport n'en sort pas grandit. A vous les studios.